ON NE DEGUSTE PLUS DU TOUT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hélas, ce superbe magnum

d'un de mes Bandol préférés,

dans un excellent millésime,

était ... bouchonné.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mon aîné est né en 1984, toute petite année en qualité dans l'entièreté du vignoble européen. 

Comme la sympathique Megan, son épouse - arrivée ce jour en Europe - est de 1985, j'avais prévu ce flacon, par anticipation. But that was not to be.

 

C'est nos "gens du service", Poca et Max, qui ont mis dix minutes pour extraire le bouchon vermoulu et pour carafer le liquide, sans rien oser me dire ... mais "ils le pensaient bien". Dommage.

 

La Tourtine est un lieu-dit situé assez haut sur la colline du Castellet, en plein soleil et en plein mistral. François Peyraud et sa femme y habitent. Ils nous ont reçus, un midi de décembre 1995, Xavier, des cardiologues belges et moi, pour une grande et belle dégustation accompagnant un beau grand aîoli

 

Ses argilo-calcaires si typiques du Bandol accueillent de beaux mourvèdres, qui arrivent à pleine maturité sur ce terroir idéal. On leur adjoint environ 20 % de grenache et le tout fait la cuvée la plus fine, la plus vive aussi, du Domaine Tempier. C'est sur la partie pentue et abritée de cette parcelle que se ramassent aussi les raisins pour Cabassaou. Le tout a été largement greffé en vert sous la direction de Lucien et puis de François, jadis.J'ai eu la chance de boire plus de dix millésimes de ces vins, et sans doute bien plus.

 

Tant pis pour cette bouteille. Il m'en reste quelques autres.

Et MERDE aux bouchons en liège! 

 

 

 

 

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