MAIS BIEN SÛR, C'EST BABAR !

Arthur émerge des brumes
Arthur émerge des brumes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les effets conjugués du vent marin,

de la moustiquaire et du lever du jour

font apparaître le flou matou

au premier plan de la terrasse,

transformée en "Quai des Brumes". 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il m'apostrophe d'un "T'as d'beaux yeux, toi", me prenant sans doute pour l'un ou l'autre pivot. Je ne me suis toutefois pas laissé embrasser. La nuit, qui porte - dit-on - conseil comme un bedeau l'hostie consacrée, m'a fait quelques suggestions bien dans l'esprit de Sigmund, quant à la raison qui nous a poussés à choisir Arthur comme nom pour ce chat.

 

J'avais déjà évoqué avec vous mon maître à penser, l'homme de Nüremberg, et le génial symboliste de Charleville. La saga des Harry Potter, si chère à ma fille,  nous a offert A. Weasley, bien sûr.

 

La vraie vie m'a susurré A. Conan Doyle, c'était élémentaire. Comme une passerelle me permettant d'éviter les eaux troubles, le gentil

A. Garfunkel s'imposait aussi. Pour ceux qui connaissent bien la musique, on pense immédiatement à A. Honegger. Moi qui n'apprécie pas trop les VRP mais aurais accepté de bonne grâce sa place éphémère auprès de Marilyn, j'ai songé un temps à A. Miller. Pour vous mettre au parfum, point d'Helena, mais bien A. Rubinstein. Enfin, comment ne pas songer à celui qui, blessé à mort par un tir de canon, fut "carried to the upper deck by two able seamen ...", A. Wellesley lui-même?

 

Non, non, non, foin des grands noms de ce monde,

je retiendrai, sorti de mes songes, le cousin de Babar comme personnage éponyme! 

 

 

 

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