SLOW FOOD DAMAGES YOUR HEALTH

Edition 2014 de VBR
Edition 2014 de VBR

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alvin Lee grattait pour Ten Years After,

Patrick Böttcher souffre Three Years Later !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La quatrième édition du "Salon à Böttcher" se tient pour le moment à Turn & Taxi's, en périphérie de la médina et du souk de Bruxelles.

Je n'ai pas pu en être cette année et ai dû laisser en plan ma pauvre petite camarade de table, Agnès Henry, et ses magnifiques vins du Domaine de la Tour du Bon, appellation Bandol protégée et appellation "amphore d'origine bien connue".

 

Patrick est fou: bien installé dans une officine d'apothicaire cossue, il s'est mis à dos l'organisation d'un événement d'importance, alors que personne ne l'y forçait. En outre, il se commet avec l'audio-visuel public et privé (c'est la même chose, sauf que les sponsors sont cachés, dans le public) - cet aspect-là me plaît moins mais c'est chacun son truc - et il prend une part non-négligeable aux activités de SF à BXL.

 

Cette organisation a eu un effet salutaire sur l'approche des choses de la bouffe, il serait idiot de le nier. En même temps - mais c'est vrai pour tous les regroupements d'individus - elle sert de prétexte à des pique-assiettes, des profiteurs, des parasites et des marchands du Temple en tout genre. L'âme humaine est ainsi faite et les gros goulafres ne font pas exception.

 

Patrick est bien placé pour se fournir en statines, en anti-hypertenseurs, en allopurinol, en anxiolytiques et ... en citrate de sildénafil. Je ne trahis pas le secret médical, je ne suis pas son traitant, n'ai vu aucun bulletin d'analyses et ne suis pas détenteur de ses confidences intimes ou médicales. J'observe tout simplement, cyniquement, humoristiquement et AMICALEMENT.

 

Il vient de faire un petit malaise vagal en pleine séance de son salon.

Bon d'accord, il a honoré ses visiteuses toute la nuit, il a payé de sa personne et de son corps, il était plein-bourré, il a les dents du fond qui baignent dans le gras (du slow-gras, mais du gras quand même) des food-trucks, il répond au téléphone, il accueille les gabelous, il calme le capitaine des pompiers qui trouve que les sorties de secours etc  ... Patrick a un faible pour les pompiers, depuis toujours. Ca doit être l'uniforme qui lui plaît; les Suisses sont comme ça.

 

Quand même, un malaise, en plein salon!

 

Patrick, ménage-toi, on t'aime ! 

 

 

Write a comment

Comments: 0