C'ETAIT GISTEREN

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

... mô mene foto werd prise ce matin.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'ACE et la BSG organisent conjointement depuis 1969, année de la scission officielle entre l'Université Libre de Bruxelles et la Vrije Universiteit Brussel, les manifestations qui fêtent la fondation de notre alma mater, en 1834, sous l'impulsion de Théodore Verhaegen. Notez au passage que "libre" signifie ici indépendante: ni confessionnelle, ni d'état. Dans la pratique, c'est un repaire de francs-maçons et autres athées. Je déplore à titre personnel qu'on y rencontre aussi des agnostiques (joke). Pour être franc, je comprends parfaitement qu'on soit touché par la foi et qu'on ait l'intuition de l'existence d'une puissance supérieure, même si ce n'est pas mon cas. Un certain nombre de mes amis sont sincèrement croyants et cette tendance mystique doit être respectée, sinon partagée. Nous n'en discutons jamais. Comme chez Brassens: "Ils me laissent dire merde, je leur laisse dire amen". Par contre, qu'on puisse "douter" , sur une base raisonnée, pragmatique, de l'existence de Dieu ou d'un dieu me paraît invraisemblable. il n'y en a évidemment pas et il n'est pas du tout nécessaire qu'il y en eût un. Entre réalisme et déisme, il n'y a pas place pour une troisième voie.

 

je vous ai raconté plus tôt sur ce blog comment s'était passé mon "baptême" estudiantin (voir ICI). C'est cela qui a eu lieu hier, pour l'exercice académique 2017-2018.

 

De bonne heure ce matin - je suis "grippé" depuis 3 jours - Christine m'a intensément tiré ... le portrait sous le portique. Les cernes qu'on discerne sous les yeux, que je ne tente pas sournoisement de dissimuler, prennent le volume d'une valise. Et encore, j'utilise ici un langage diplomatique.

 

 

"Rasechte student van de “Klauwaert ende Geus”

Strijd ik voor m'n vrijheid, steeds getrouw aan onze leus

Roemberuchte rolder blijf ik zelf tot in de dood

De schrik van de kaloot."

 

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