Majou n'est pas modeste,
mais Mussorgski bien.
Cette visite valut toutes mes précédentes.
Il y a quatre ans, j'ai visité les Carrières de Lumières en compagnie de notre vioque et de Christine. le thème en était Klimt et Vienne. On peut faire pire, comme le chanoine faisait du Kir.
L'année d'après, c'est Thierry qui s'est joint à nous pour admirer Michel-Ange et Raphaël. Nous y avons découvert le métier fascinant du Braghettone, "he who covers the genitals", comme disent les textbooks.
L'an passé, Chagall est passé au travers des mailles du filet, à cause principalement de mon diabétologue, qui refuse que je fréquente les oeuvres d'un artiste prénommé Saccharositch; Moshe, passe encore. Mais j'ai acquis le DVD. Bientôt, grâce à Trump (et ses mentors) et Netanyahu (et ses menteurs), c'est Al-Aqsa qu'on ne pourra plus admirer qu'en DVD, à côté de l'ambassade des Yanks.
Ca sera "moche" aussi.
Pour faire bonne mesure, j'ai emmené ma mère à l'édition de cette année (Breughel, Bosch et Arcimboldo) après un repas "plus que satisfaisant" (voir ICI) chez le sympathique Eric Sapet. Nous avons évolué de Sint-Anna-Pede à 's Hertogenbosch et même jusqu'au piémont alpin avec délice. Comme pour être sûr de ne rien rater, j'y suis retourné avant-hier et avant un autre repas "très satisfaisant" chez
Sandra-Rose Prévôt et son papa (voir re-ICI). Que du bonheur!
Le Milanais des trois n'a pas forcément joui de toute l'attention qu'il mérite. Nous nous en sommes payés une bonne tranche, par contre.
Le spectacle proposé, car c'en est un, n'a pas son pareil en terme de grandiose, de plaisir, d'originalité et de subtilité musicale*.
Yes, I've been buying my stairway to heaven ...
et ce n'était pas cher.
*: De Orff à Vivaldi et de Mussorgski à Led Zep'
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